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Agriculture Biologique

Agriculture Biologique
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29 mars 2009

Conclusion

Pour conclure nous avons démontré que l’agriculture biologique est un système agricole ancien qui a évolué, peu rependu mais qui est en augmentation depuis plusieurs années.

Cependant la certification est obligatoire pour être reconnu comme agriculteur bio et il s’agit d’un système agricole plus coûteux que les autres systèmes.

On peut aussi constater une augmentation de l’industrie du bio qui pourrait obliger les petits agriculteurs qui sont quasiment la totalité à ne pas pouvoir survivre à ce marché qui se met en place.

Par ailleurs l’agriculture bio est plus coûteuse que l’agriculture traditionnelle, en effet l’interdiction des pesticides et le besoin accru en personnel font que les prix du bio à sa sortie sont plus chères.

L’agriculture Bio détient des aides pour son développement mais qui ne sont pas assez importantes pour son bon développement.

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29 mars 2009

III) Avenir et atout du bio

1-Atouts économique

Lagriculture biologique a une production diversifiée ce qui permet de réaliser des économies. Des études montre la différence entre les agriculture en mode de conversation ( passage progressif de lagriculture conventionnelle à lagriculture biologique ) et la période de croisière. 

La production biologique est efficace pour trois raisons suivantes:

-elle mobilise davantage des ressources du capital (sol) et du facteur naturel ( plantes animaux)

-elle favorise le travail familial

-elle utilise moins le capital technique acheté et le capital financier

Cependant la production biologique nest pas toujours efficace car les rendements sont inférieur comparés aux autre type dagriculture mais cela est largement compensé par le prix des ventes.arrivé des grandes surfaces dans la filière bio bouleverse le secteur.une tendance a la baisse de la qualité a cause de lindustrialisation du secteur. Les agriculteur redoutent la perte de leur maîtrise de sa distribution avec la hausse des volumes. Pour certaine grande surface qui nont quune optique lucrative, ce secteur porteur constitue une garantie. Ces distributeurs utilisent le bio comme des produit marketing. Lobjectif qui est de mettre le bio à portée de tous, mais cela provoque une pression sur les prix (comme la subit lagriculture conventionnelle). Ce conflits des prix signifie une augmentation des rendements, une baisse de la main dœuvre et des salaires. Cependant le bio intensif et bio industrie est opposé au principes de ce marché et pose le problème de la survie des petites exploitations cest-à-dire la quasi-totalité.

2)Le coût des produits biologiques est-il justifié ?

La majorité des Français trouve que les produits biologiques sont cher . En réalité , cela est vrai , les produits biologiques sont globalement plus cher que ceux de lagriculture conventionnelle . Une étude a été réalisée par soixante millions de consommateurs en 2003 expliquant ce que ces coût recouvrent . L étude a été menée également auprès de magasins spécialisé (Biocoop , Naturalia ) , de la grande distribution comme Carrefour et dans certains marchés biologiques.étude a constaté que des tomates en grappes sont vendues 4.95euros par kg dans un marché biologique conte 14.80sur un marché conventionnel . Inversement , les carottes peuvent être deux fois plus cher en <<bio>> . Pour la production de fruits et de légumes , la saison est un facteur important dans les variations de prix . Le principal surcoût se situe au niveau de la production. Effectivement , la main dœuvre représente 60% du coût de production avec le désherbage , les récoltes manuelles et la protection des culture ce qui provoque un coût supplémentaire par rapport aux monocultures . Les semences biologiques valent dans la plupart des cas le double de celles conventionnelles . Par ailleurs, le semis seffectue de manière plus espacée pour éviter que les plantes ne se transmettent des maladies .

Lenquête a monté que les salades par exemples , restent en terre soixante quinze jours pour un rendement de doue salades par m² par rapport aux salades conventionnelles qui sont cueillies au bout de soixante jours pour quatorze salades par m² .le prix de ces produits varie selon le mode de distribution. acheteur notamment la fraîcheur du produit . Dans les magasins spécialisés la marge diminue parce quelle doit intégrer le coût du transport élevé . Les légumes biologiques vendues e, MGS restent chers malgré lidée que les distributeurs peuvent revoir a la baisse . Dans les grandes surfaces , le prix doit recouvrir le suremballage qui est nécessaire pour certifier que le produit est <<bio>>.enquête a monté que les salades par exemples , restent en terre soixante quinze jours pour un rendement de doue salades par m² par rapport aux salades conventionnelles qui sont cueillies au bout de soixante jours pour quatorze salades par m² .le prix de ces produits varie selon le mode de distribution.

En vente directe , la marge pour le producteur est élevée mais le prix prend en compte le service rendu à l acheteur notamment la fraîcheur du produit.elle doit intégrer le coût du transport élevé . Les légumes biologiques vendues e, MGS restent chers malgré lidée que les distributeurs peuvent revoir a la baisse .

Dans les grandes surfaces , le prix doit recouvrir le suremballage qui est nécessaire pour certifier que le produit est <<bio>>.

3- Avenir

A ce point de lanalyse , la comparaison agriculture conventionnelle avec celle biologique nest plus essentielle , on se situe au - delà avec une prise en compte dune agriculture qui sinscrit dans un système global de développement durable . En effet , le développement de lagriculture biologique prend en considération des enjeux de long terme au sein de lactivité agricole et donc participe a la problématique du développement durable . Le développement durable est un processus qui lie lécologie , léconomique et le social . Il vise un développement respectueux des ressources naturelles et des écosystèmes , capable de garantir , lefficacité économique tout en assurant une action contre la pauvreté , les inégalité et lexclusion . Il constitue , en quelque sorte , une recherche de léquité . Le terme de <<développement >> ne signifie pas croissance , cest un processus au contraire qualificatif , certes dépendant de la croissance mais faisant référence à une transformation des structures de la société en vue daméliorer le bien-être de l homme .Se situer dans une perspective de développement durable revient à élargir lhorizon spatial (bien-être de chacun dans nimporte quel pays ) et temporel ( sur du long terme faisant référence aux générations futures ) . Le développement durable renvie également à une démarche global , il consiste à prendre en compte toutes les relations existantes entre des systèmes .Lanalyse des interactions entre ces différents éléments permet dappréhender le fonctionnement de lensemble afin davoir la possibilité dagir efficacement à la source. Enfin, le développement durable fait appel notamment à la mobilisation des citoyens et à leur participation au processus de décision . Il vise à les associer aux projets qui les concernent et à trouver avec eux et lensemble des partenaires socio-économiques des solutions efficaces . Le développement durable repose ainsi sur la démocratie locale et lapproche citoyenne, qui implique de dépasser la simple information pour développer un véritable processus de concertation . Lagriculture biologique est un système qui prend en compte chacun des éléments précédents . En effet , au-delà de la simple apparence , ce mode de production a une réelle responsabilité pour lavenir .agriculture biologique est soutenu par une aide à la conversion dans le cadre du plan de développement rural suite à lapplication du règlement communautaire de développement rural. Cette aide est accordée pendant la période où lagriculteur modifie ses pratiques, période pendant laquelle il ne bénéficie pas encor de la certification et donc ne peut valoriser sa production au titre de lagriculture biologique .aide à la conversion faiblit depuis quelques années. La conversion à lagriculture biologique représente un coût élevé pour lagriculteur, il doit faire face à des contraintes qui ont tendance à précariser sa situation financière. La réglementation européenne prévoit quentre dépasse donc le bien être personnel de lindividu en devenant nécessaire pour lavenir de la société et de la planète, cest pourquoi elle entre totalement dans loptique de développement durable .

Une conférence internationale ONU/FAO de mai 2007 sur lagriculture biologique et la sécurité alimentaire a conclu quà échelle mondiale, lagriculture biologique, si elle est soutenue par une volonté politique peut

- contribuer à la sécurité alimentaire, dont des pays riches également menacés par la crise des énergies fossiles, les changements climatiques et certaines faiblesses de la chaîne alimentaire

- atténuer les impacts de nouveaux problèmes (dont changements climatiques grâce à une fixation améliorée du carbone du sol et une meilleure résilience

- renforcer la sécurité hydrique ( qualité de l'eau, moindres besoins en irrigation, restauration hydriques du sol, meilleurs rendements en cas de stress hydrique dû aux aléas climatiques )

- protéger lagro biodiversité, et en garantir un usage durable - renforcer la suffisance nutritionnelle ( diversification accrue des aliments biologiques plus riches en micronutriments )

-stimuler le développement rural ( dans des zones où le seul choix est la min dœuvre grâce aux ressources et savoir locaux ).

29 mars 2009

II) Etat des lieux

1)Principe et objectif du bio

Lagriculture biologique est un terme apparu dans les années 60, pour désigner des méthode de production agricole particulière. En effet lagriculture biologique désigne des méthodes dagriculture nutilisant pas dengrais chimique, ni de pesticides. Elle assure la production daliments en assurent le respect de l environnement.

L agriculture biologique est apparue en Europe au début du XXI siècle grâce a divers courants philosophiques et agronomiques qui ont pour but de:

-permettre aux sols de conserver leur fertilité naturelle

-privilégier l autonomie des exploitations agricoles

-établir des relation directes avec les consommateurs

-respecter lenvironnement

Le mode de production agricole repose sur des principes: écologiques, sociaux et économiques.

Objectifs écologiques:le respect des écosystèmes naturels.Cest une règle essentiel de lagriculture biologique, linterdiction dengrais chimique pour préserver le sol et les plantes, préserver la biodiversité, le recyclage et trouver des espèces animales et végétales adaptés aux conditions naturelles.

Objectifs sociaux: Respecter la santé humaine et animales, favoriser la coopération et non la compétition, respecter l'équilibre entre les différents acteurs des filières, permettre aux agriculteurs de vivre de leur travail. Proposer des aliments sains, établir des liens avec le consommateurs et favorise lemploi dans le secteur agricole.

Objectifs économiques: Sans lutilisation de pesticides, le travail biologique est beaucoup plus dure et constitue un long travail par rapport a l utilisation de machine pour éprendre les pesticides.

LInternational Federation of Organic Agriculture (IOFAM) a établi un cahier des charges indiquant les principes du bio:

-Produire des aliments de très bonne qualité nutritive

-Respecter et protéger les écosystèmes naturels et leur diversité génétiqueélevage.

-Promouvoir et positionner et diversifier les cycles biologiques au sein des systèmes agricoles en respectant les micro-organismes, la flore et la faune des sols, les cultures et les animaux délevage.

-Maintenir et améliorer la fertilité des sols en utilisant des engrais organiques(fumier, engrais vert et compost)

-Utiliser les ressources naturelles et renouvelable régionales

-Tendre vers l autonomie de la production

-Donner aux animaux des conditions d élevage optimales-Donner a lagriculture, à lagriculture, une juste rémunération et un environnement de travail sûr et sain

-Tenir compte de limpacte des techniques de culture sur lenvironnement.

Il existe un certain nombre de technique à effectuer pour lagriculture biologique.

La fertilisation par engrais biologique ( engrais verts, fumiers et composts), la couverture du sol (protection contre le dessèchement et rétention de l humidité), la rotation de 6 à 12 années en polyculture, la monoculture est donc interdite, un labours légers et peu profond (15 à18 cm) sans retourner le sol, les travaux réalisé selon le calendrier lunaire.

Les agriculteurs ont recours a des méthodes bien précises comme:

-Lengraissement des sols en non des légumes ou des fruits

-Le travail avec la lune en tenant compte de plusieurs éléments

-La lutte contre les insectes nuisible au agriculture doit se faire de façon biologique comme lutilisation de limaces.

2- La production sur le marché international

Lagriculture biologique évolue depuis 1995 et ce phénomène saccentue en 2004

En 2007 lagriculture bio représentait environs 31 millions dhectares. Les surfaces cultivés bio dans les continents sont variable et inégalitaire

Par exemple: LOcéanie qui possède 11.8 millions dhectares de surface cultivés bio est lagriculteur bio le plus important mondiale, suivit de lEurope 6.9 millions dhectares, de lAmérique du sud 5.8 millions dhectares, de lAsie 2.9 millions dhectares , de lAmérique du nord 2.2 millions dhectares et en dernière position lAfrique 0.9 millions dhectares.

Lagriculture Bio représente 3.9% de la superficie agricole utilisé dans lUnion Européenne soit 6.5 millions dhectares est consacré a lagriculture bio mais avec de forte variation de surface selon les pays.

LItalie est le premier agriculteur bio en 2005 soit 1.1 millions dhectares représentant 17% du total de lUnion Européenne suivit de lAllemagne et de lEspagne soit 0.8 millions dhectares chacun environs et 13% du total de lUnion Européenne. Mais lItalie nest pas le pays qui a le taux de son agriculture le plus élevé en bio, il se classe en seconde position derrière lAutriche dont 11.0% de leur agriculture totale est bio. LItalie quant-a-elle 8.4% de son agriculture totale est bio, suivie de la République Tchèque et de la Grèce 7.2% chacun.On trouve aussi des pays avec ce taux le plus faible comme Malte 0.1% de son agriculteur totale est bio, la Pologne 0.6%, lIrlande 0.8%.

3-La production bio sur le marché Français

Grace au rapport de lagence Bio qui se charge du développement et de la promotion de lagriculture biologique française grâce a laide le lObservatoire National de lAgriculture Biologique (ONAB) de 1995 à 2006 on peut constater une augmentation approximative de 2.5% d exploitation biologique par an en France de 2001 à 2006.Pourtant le nombre d exploitation agricole baisse chaque années appart pour la filière biologique qui quand à elle augmente de 30%.

En fin 2006 11 640 exploitation agricole étaient engagées dans le mode d agriculture biologique soit une surface de 552 824 hectares en biologique ou en conversion vers le biologique ce qui représente seulement 2% de la Surface Agricole Utile (SAU).

Par ailleurs de 2001 à 2006, les surfaces en conversions cest-à-dire celles qui sont en phase de transition avant de pouvoir être certifié comme agriculture biologique représentait 25 à 30 % des terres dagriculture biologique. Ces surfaces ont permis de développer la production certifié Biologique mise en place en 2003. A la suite avec 53 235 hectares, les surfaces en conversion représentait près de 10% des surfaces certifié.

11 mars 2009

I) Le Bio

1)Historique

En 1924: Des agriculteurs inquiets des effets néfastes de la fertilisation chimique interpellent Rudolf Steiner qui proposa lors d'une conférence les base de l'agriculture biodynamique

En 1978, la Fédération Nationale de l’Agriculture Biologique (FNAB) est mise en place.

En 1981, on reconnaît officiellement l’agriculture biologique en France.

En 1991, la Communauté Européenne donne un cadre légal à l’appellation « agriculture biologique ».

En 1992, la nouvelle PAC intègre des aides à l’agriculture biologique et le cahier des charges de la production végétale biologique est mise en œuvre.

En 1993, la certification des produits issus de l’agriculture biologique est créée reconnue par le logo (AB).

En 2000, le programme « Agriculture biologique » lancé par l’INRA est conduit dans une approche « partenariale », c'est-à-dire que la conception et le suivi des projets locaux, régionaux ou nationaux sont conduits en partenariat avec les professionnels. 28 projets de recherche soutenus depuis 2000 (850 000€ engagés).

En 2004, de nouvelles réglementations sont mises en place au niveau européen.

En 2007, l’Etat français crée le Grenelle de l’environnement.

La destruction des écosystèmes, la pollution des nappes phréatiques, les scandales relatifs à la crise de la vache folle (ESB), à la dioxine, la controverse autour des OGM et même du clonage font élever l’agriculture biologique d’un simple mouvement de société à un véritable mode de production

2) Sur le plan environnemental

Le temps et l’expérience de ce type d’agriculture ont permis de révéler les limites du modèle. En effet, les pratiques très intensives et la mauvaise gestion des ressources naturelles ont pour effet la dégradation des produits dans l’environnement. Pour obtenir un accroissement rapide de la productivité agricole, les processus d’irrigation ainsi que les fertilisants sont les plus efficaces.

Cependant, des systèmes d’irrigation inadaptés ou une exploitation intensive des nappes souterraines ont des effets négatifs au point que cette eau n’est plus utilisable pour la culture. De plus, l’eau est une ressource de plus en plus rare, qui n’est pas exploitée efficacement par les cultures, dans la plupart des cas. Par ailleurs, l’utilisation intensive de fertilisants chimiques provoque à long terme la perte de matière organique dans les sols qui rend difficile la conservation de l’humidité. Dans ce ca, cette utilisation intensive ne se traduit pas par de meilleurs rendements mais par une augmentation des coûts (liée à l’appauvrissement des sols notamment). L’usage de produits agrochimiques participe à l’augmentation de la productivité, mais a un risque de créer des problèmes environnementaux et sanitaires importants. En plus, des études ont montré qu’une application continue de ces produits, réduit leur efficacité.

Actuellement, plusieurs recherches ont permis de mettre en évidence les effets plus ou moins irréversibles provoqués par une pratique prolongée du système de production de l’agriculture conventionnelle. Les Etats souhaitent améliorer les performances environnementales de l’agriculture par leurs politiques d’action mais ils éprouvent des difficultés à les mener de manière efficaces. Il est difficile de mesurer et d’identifier les réelles avancées de ces politiques car les effets ne se manifestent qu’à long terme. On ne peut donc pas déterminer ni la nature ni l’ampleur des performances environnementales de manière claire. Tout l’enjeu est de savoir pourquoi cette activité n’a pas sue réellement satisfaire cette demande jusque là. Le lien entre ce système de production et les résultats environnementaux existe mais n’est pas encore bien intégré par la population.

3) La certification

Les performances de l’agriculture en matière d’environnement sont mitigées et varient d’un pays à un autre. En effet, en France, par exemple, depuis le début des années soixante, les gains de productivité ont été très élevés, de 4.4% dans ce secteur par an en moyenne. De nombreux facteurs ont joué : la mécanisation s’est généralisée, le recours aux engrais et au pesticides d’est développé, la génétique animale a progressé, la taille moyenne des exploitations a augmenté, les plus petites d’entre elles ont presque disparu.

a. Le label biologique

Le label  bio  est représenté par un logo (reconnaissable par son logo vert et blanc en France, noté « AB ») qui est délivré sur une demande d’agrément à partir d’un cahier des charges qui définit précisément les règles permettant d’être certifié. Par la suite les organismes certificateurs se chargent de la certification : Aclave, Agrocert, Ecocert.

Un label est un « signe apposé sur l’emballage d’un produit qui avise le consommateur que le produit respecte un ensemble de critères définis dans un cahier des charges ». L’application des critères du cahier des charges est contrôlée par un organisme indépendant de certification qui est reconnu par l’Etat. En d’autre terme, un label est à la fois une garantie pour le consommateur et aussi un réel engagement du producteur. En effet, c’est un échange, le producteur doit accepter les contrôles imposés et en retour il bénéficie de la notoriété et de la protection du label concerné. Un label « bio », c’est donc une sorte de certificat figurant sur l’emballage qui indique que le produit a été cultivé, fabriqué et conditionné selon des normes dites «  biologique » respectueuses de l’environnement et de l’homme.

b. Quelles garanties offre-t-il ?

La Fédération Nationale d’Agriculture Biologique (FNAB) des régions de France est un organisme professionnel à un but syndical créé en 1978.

Elle rassemble les groupements régionaux d’agrobiologistes français, elle a pour objectif la défense et la représentation des agriculteurs biologiques.

La FNAB est partenaire du Ministère de l’Agriculture dans le cadre du Plan Pluriannuel de développement de l’Agriculture Biologique et du Ministère de l’Ecologie. Elle travaille également avec les autres Ministères et institutions publiques, l’Agence Bio, les organisations professionnelles agricoles, les organisations européennes et mondiales de l’agriculture biologique (IFOAM). D’après cet organisme, le label garantit les éléments suivants selon les catégories de produits

10 mars 2009

Introduction

Dans le cadre des TPE ( Travaux Personnel Encadrés ) nous avons réalisé ce site pour que n'importe qui puisse ce documenté sur le sujet de l'agriculture bio. En espérant que le site pourra répondre a quelque une de vos questions. Bonne visite.

Sommaire:

I -LE BIO

1- HISTORIQUE

2- SUR LE PLAN ENVIRONNEMENTAL

       3 - PAC

II - L'ETAT DES LIEUX

1- LES PRINCIPES DU BIO ET OBJECTIF

2- LA PRODUCTION SUR LE MARCHE INTERNATIONAL

3-LA PRODUCTION AGRICOLE DU BIO SUR LE MARCHE Français

III- AVENIR ET ATOUT DU BIO

1- ATOUT ÉCONOMIQUE

2- LE COUP DES PRODUITS BIO SONT ILS JUSTIFIER ?

3- AVENIR

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